La Feria d’Arles 2023 est un rassemblement culturel français majeur qui attise l’intérêt de milliers de personnes chaque année, valorisant la culture taurine et la tradition de la corrida. Pourtant, au cœur des festivités, il est essentiel de reconnaître les dangers associés à la consommation d’alcool et de drogues, ainsi que la rigueur des contrôles routiers. La vigilance et une consommation responsable sont des composantes vitales pour assurer la sécurité de tous. Vivre ces moments en respectant la loi et en maintenant une atmosphère joyeuse garantit une expérience positive et inoubliable pour tous. Il faut donc concilier fête et responsabilité pour le bien de tous lors de cet événement. Ce n’est pas sans rappeler que nombreux sont ceux qui sont obligé de faire intervenir un avocat en droit pénal comme celui de MAITRE RAYBAUD et MAITRE HUMBERT suite au retrait de leur permis de conduire pour conduite en état d’ivresse ou au volant sous l’emprise des stupéfiants !

La féria d’Arles édition 2023

La Feria d’Arles : Une célébration effervescente de la culture taurine

La Feria d’Arles est un événement emblématique qui se déroule chaque année dans cette charmante commune, située dans le sud de la France. C’est une célébration vibrante de la culture taurine qui attire des milliers de visiteurs venus des quatre coins du globe. Au cours des festivités, les rues se remplissent d’aficionados, de passionnés de corridas, ainsi que de curieux en quête d’expériences uniques.

Histoire des férias d’Arles

La Feria d’Arles a vu le jour au milieu du XXe siècle et est depuis au rang de renommée internationale. Son histoire est étroitement liée à la tradition taurine, qui remonte à plusieurs siècles dans cette région française. Les premières corridas arlésiennes ont été organisées en 1851, et depuis lors, la passion pour les corridas s’est enracinée dans la culture locale.

Déroulement des festivités

La Feria arlésienne s’étend généralement sur plusieurs jours, créant ainsi une atmosphère effervescente dans toute la commune. Les festivités débutent par l’ouverture officielle, marquée par un défilé haut en couleur dans les rues. Les participants, vêtus de costumes traditionnels, défilent au son des fanfares, créant une ambiance festive dès le premier jour.

Les corridas sont l’un des éléments centraux des Ferias. Ces spectacles de bravoure et d’adresse opposent les toreros aux taureaux dans une arène emblématique. Les aficionados affluent pour assister à ces combats passionnants, où le courage et l’agilité des toreros sont mis à l’épreuve. Les moments les plus intenses de la corrida sont souvent marqués par des passes audacieuses, des estocades précises et des acclamations enflammées du public.

Outre les corridas, la féria propose également de nombreuses autres activités. Les rues se transforment en un immense marché où l’on peut trouver des produits artisanaux, des vêtements traditionnels, ainsi que des spécialités culinaires locales. Les bodegas, sortes de bars éphémères, se multiplient dans les rues, offrant aux visiteurs l’occasion de déguster des tapas et des vins régionaux dans une ambiance conviviale.

Les moments forts des férias

Cette festivité regorge de moments forts qui en font une expérience inoubliable.

Voici quelques-uns des moments les plus emblématiques :

  1. La Pégoulade : Ce défilé nocturne, illuminé par des feux d’artifice et des lampions, marque le coup d’envoi. Les Arlésiens, habillés en costumes traditionnels, défilent dans les rues de la ville, créant une atmosphère magique.
  2. La corrida goyesque : C’est l’un des moments les plus attendus. Cette corrida se déroule dans les arènes romaines, et les toreros revêtent des costumes inspirés de l’époque de Francisco de Goya, donnant ainsi une dimension artistique supplémentaire à ce spectacle.
  3. Les spectacles équestres : En plus des corridas, la Feria propose des spectacles équestres époustouflants. Des cavaliers talentueux présentent des figures acrobatiques et des numéros de haute voltige, mettant en valeur l’élégance et la force des chevaux.
  4. Les peñas : Ces groupes de musique traditionnelle animent les rues avec leurs instruments typiques, tels que la guitare flamenca et les castagnettes. Les peñas créent une ambiance festive et entraînante, incitant les visiteurs à danser au son des rythmes espagnols.

Le programme de la féria d’Arles édition 2023https://www.thegoodarles.com/good-time-agenda-sorties-et-evenements-pays-d-arles/feria-de-paques-arles/

Entre drogue et alcool : gare aux écarts et aux contrôles routiers des forces de l’ordre lors des férias arlésiennes !

La période des férias arlésiennes approche à grands pas, ce moment de joie, de festivité et de partage. Mais, en dépit des bons moments que nous attendons tous, un grave problème persiste, celui de l’abus de drogues et d’alcool fort. En effet, ces excès se sont révélés dangereux non seulement pour ceux qui en abusent, mais également pour la sécurité publique. Les forces de l’ordre sont donc sur le qui-vive pour assurer un contrôle routier strict et prévenir les incidents.

L’alcool et la drogue peuvent altérer les perceptions, ralentir les réflexes et nuire à la capacité de jugement. Ces substances peuvent ainsi transformer une fête joyeuse en cauchemar. Les conséquences de ces abus vont de l’accident de la route à des incidents plus tragiques. En conséquence, la priorité doit être de contrôler ces excès lors des férias.

La police et la gendarmerie, bien conscientes de ces risques, ont déployé des efforts considérables pour faire respecter les lois. Des contrôles routiers ont été intensifiés autour de la ville, avec une attention particulière portée aux conducteurs suspectés d’être sous l’influence de substances illégales. Les sanctions pour ceux qui ne respectent pas ces lois sont sévères, allant de lourdes amendes à des peines de prison. Et encore plus dans le cadre de récidives sous empire alcoolique !

Mais la solution ne réside pas seulement dans l’application stricte des lois. Il est essentiel de sensibiliser les gens aux dangers de la conduite sous l’influence de l’alcool ou de la drogue. De nombreuses initiatives ont été lancées pour encourager les festivaliers à choisir des chauffeurs sobres, à utiliser des moyens de transport alternatifs, ou à rester sur place jusqu’à ce qu’ils soient sobres.

Il est également important de rappeler que la responsabilité ne réside pas uniquement chez le conducteur. Les organisateurs d’événements, les propriétaires de bars et les vendeurs d’alcool ont également un rôle à jouer. Ils peuvent mettre en place des politiques pour limiter la consommation d’alcool, promouvoir la modération et offrir des alternatives sans alcool.

Ce sont des moments de célébration et de partage. Mais pour que cela reste un plaisir, il est essentiel de faire preuve de responsabilité. Il ne tient qu’à nous de faire de ces événements un souvenir agréable et sûr pour tous. N’oubliez pas, l’alcool et la drogue au volant, c’est non seulement illégal, mais c’est aussi mettre en danger votre vie et celle des autres. Alors, faisons preuve de responsabilité et assurons-nous de profiter des festivités en toute sécurité.

Les événements festifs et la conduite sous stupéfiants à Arles

Chaque année, de nombreux événements sont organisés dans la commune, attirant des visiteurs du monde entier. Cependant, malheureusement, certains individus choisissent de participer à ces festivités tout en conduisant sous l’influence de stupéfiants, ce qui pose un grave danger pour eux-mêmes et pour les autres.

Les événements festifs arlésiens sont variés et couvrent un large éventail d’intérêts. Parmi les plus célèbres, on peut citer les Rencontres d’Arles, un festival de photographie de renommée internationale qui se tient chaque été. Cet événement attire des artistes, des passionnés de photographie et des touristes qui viennent découvrir les expositions et participer aux nombreux événements liés à la photographie.

En plus des Rencontres d’Arles, la commune est également réputée pour ses festivals de musique, de danse et de théâtre. Ces événements attirent des artistes talentueux et un public enthousiaste, créant une ambiance festive dans toute la commune. Les rues sont animées de spectacles de rue, de concerts en plein air et de nombreuses autres activités culturelles.

Malheureusement, certains individus gâchent ces moments de joie en choisissant de conduire sous l’influence de stupéfiants. Conduire sous l’emprise de drogues altère considérablement les capacités physiques et mentales d’une personne, augmentant ainsi considérablement le risque d’accidents de la route. Non seulement ces conducteurs mettent leur propre vie en danger, mais ils mettent également en danger la vie des autres usagers de la route, des piétons et des festivaliers.

Pour contrer ce problème, les autorités locales et les forces de l’ordre ont renforcé la surveillance des routes pendant les événements festifs. Des contrôles de police sont effectués régulièrement pour détecter la présence de stupéfiants dans le système des conducteurs. Des campagnes de sensibilisation sont également menées pour informer le public sur les dangers de la conduite sous l’influence de drogues.

Il est essentiel que les festivaliers prennent leurs responsabilités et fassent preuve de bon sens en ne conduisant pas sous l’emprise de stupéfiants. Des alternatives sûres, comme les transports en commun, les taxis ou le covoiturage, sont disponibles pour se déplacer dans la ville pendant les événements festifs. La sécurité de tous les participants et des arlésiens doit rester une priorité absolue.

Les articles de loi sur l’usage et l’emprise des stupéfiants pendant la conduite :

« I.-Toute personne qui conduit un véhicule ou qui accompagne un élève conducteur alors qu’il résulte d’une analyse sanguine ou salivaire qu’elle a fait usage de substances ou plantes classées comme stupéfiants est punie de deux ans d’emprisonnement et de 4 500 euros d’amende. Si la personne se trouvait également sous l’empire d’un état alcoolique caractérisé par une concentration d’alcool dans le sang ou dans l’air expiré égale ou supérieure aux taux fixés par les dispositions législatives ou réglementaires du présent code, les peines sont portées à trois ans d’emprisonnement et 9 000 euros d’amende.

II.-Toute personne coupable des délits prévus par le présent article encourt également les peines complémentaires suivantes :

1° La suspension pour une durée de trois ans au plus du permis de conduire ; cette suspension ne peut pas être limitée à la conduite en dehors de l’activité professionnelle ; elle ne peut être assortie du sursis, même partiellement ;

2° L’annulation du permis de conduire avec interdiction de solliciter la délivrance d’un nouveau permis pendant trois ans au plus ;

3° La peine de travail d’intérêt général selon les modalités prévues à l’article 131-8 du code pénal et selon les conditions prévues aux articles 131-22 à 131-24 du même code et à l’article L. 122-1 du code de la justice pénale des mineurs ;

4° La peine de jours-amende dans les conditions fixées aux articles 131-5 et 131-25 du code pénal ;

5° L’interdiction de conduire certains véhicules terrestres à moteur, y compris ceux pour la conduite desquels le permis de conduire n’est pas exigé, pour une durée de cinq ans au plus ;

6° L’obligation d’accomplir, à ses frais, un stage de sensibilisation à la sécurité routière ;

7° L’obligation d’accomplir, à ses frais, un stage de sensibilisation aux dangers de l’usage de produits stupéfiants ;

8° La confiscation du véhicule dont le condamné s’est servi pour commettre l’infraction, s’il en est le propriétaire.

III.-L’immobilisation du véhicule peut être prescrite dans les conditions prévues aux articles L. 325-1 à L. 325-3.

IV.-Les délits prévus par le présent article donnent lieu de plein droit à la réduction de la moitié du nombre maximal de points du permis de conduire. »

« Lorsqu’il a été procédé aux épreuves de dépistage et aux vérifications prévues par l’article L. 235-2, le placement en garde à vue de la personne, si les conditions de cette mesure prévues par le code de procédure pénale sont réunies, n’est pas obligatoire dès lors qu’elle n’est pas tenue sous la contrainte de demeurer à la disposition des enquêteurs et qu’elle a été informée des droits mentionnés à l’article 61-1 du code de procédure pénale. »

« I.-Toute personne coupable, en état de récidive au sens de l’article 132-10 du code pénal, de l’une des infractions prévues aux articles L. 235-1 et L. 235-3 du présent code encourt également les peines complémentaires suivantes :

1° La confiscation obligatoire du véhicule dont le prévenu s’est servi pour commettre l’infraction, s’il en est propriétaire. La juridiction peut toutefois ne pas prononcer cette peine, par une décision spécialement motivée ;

2° L’immobilisation, pendant une durée d’un an au plus, du véhicule dont le prévenu s’est servi pour commettre l’infraction, s’il en est propriétaire.

Le fait de détruire, détourner ou tenter de détruire ou de détourner un véhicule confisqué ou immobilisé en application des 1° et 2° est puni des peines prévues à l’article 434-41 du code pénal.

II.-Toute condamnation pour les délits prévus aux articles L. 235-1 et L. 235-3 commis en état de récidive au sens de l’article 132-10 du code pénal donne lieu de plein droit à l’annulation du permis de conduire avec interdiction de solliciter la délivrance d’un nouveau permis pendant trois ans au plus. »

Les sorties festives et l’alcool au volant à Arles

À Arles, ville ensoleillée et pleine de charme, les sorties festives rythment la vie de ses habitants. Que ce soit pour célébrer les traditions provençales ou simplement profiter de la vie nocturne animée, la ville offre une multitude d’occasions de s’amuser. Toutefois, l’alcool au volant chez les jeunes demeure un problème préoccupant qui nécessite une attention particulière.

Les fêtes à Arles sont réputées pour leur convivialité et leur ambiance chaleureuse. Les Arlésiens, fiers de leur patrimoine culturel, se retrouvent régulièrement lors de festivités traditionnelles telles que la Féria de Pâques ou les fêtes de la Sainte-Sara. Les rues se remplissent de monde, les costumes traditionnels colorés se mêlent aux rires et aux danses endiablées. Les festivités sont l’occasion idéale de partager un verre de vin local ou une bière fraîche entre amis.

Cependant, il est essentiel de rappeler les dangers de l’alcool au volant. La consommation excessive d’alcool altère les facultés mentales et physiques, réduisant ainsi la capacité de conduire en toute sécurité. Les autorités locales et les associations de prévention s’efforcent de sensibiliser la population aux risques de l’alcool au volant. Des campagnes de prévention sont menées régulièrement pour encourager les Arlésiens à adopter des comportements responsables.

Pour pallier ce problème, plusieurs mesures ont été mises en place. Les contrôles d’alcoolémie sont renforcés lors des événements festifs afin de dissuader les conducteurs de prendre le volant en état d’ivresse. Les taxis et les services de VTC sont également encouragés à rester disponibles tard dans la nuit pour offrir une alternative sécurisée aux fêtards souhaitant rentrer chez eux.

Les établissements de nuit jouent également un rôle important dans la prévention de l’alcool au volant afin d’éviter les convocations chez le délégué du procureur. Les bars et les discothèques sont tenus de respecter les réglementations en vigueur concernant la vente d’alcool et de promouvoir des comportements responsables. Des navettes gratuites pour la féria sont mises en place pour faciliter le retour des fêtards vers leur domicile.

Les articles de loi sur la consommation et la conduite sous état empire alcoolique :

« Pour l’application de l’article L. 225-4 dans les îles Wallis et Futuna, les mots :  » dans le département  » sont remplacés par les mots :  » dans la collectivité « .

Les articles L. 234-1 à L. 234-9 sont applicables au territoire des îles Wallis-et-Futuna dans la rédaction suivante :

 » Art. L. 234-1.-I.-Même en l’absence de tout signe d’ivresse manifeste, le fait de conduire un véhicule sous l’empire d’un état alcoolique caractérisé par une concentration d’alcool dans le sang égale ou supérieure à 0,80 gramme par litre ou par une concentration d’alcool dans l’air expiré égale ou supérieure à 0,40 milligramme par litre est puni de deux ans d’emprisonnement et de 4 500 euros d’amende.

II.-Le fait de conduire un véhicule en état d’ivresse manifeste est puni des mêmes peines. « 

 » Art. L. 234-2.-Toute personne coupable de l’un des délits prévus à l’article L. 234-1 encourt également les peines complémentaires suivantes :

1° La peine de travail d’intérêt général selon des modalités prévues à l’article 131-8 du code pénal et selon les conditions prévues aux articles 131-22 à 131-24 du même code et à l’article L. 122-1 du code de la justice pénale des mineurs ;

2° La peine de jours-amende dans les conditions fixées aux articles 131-5 et 131-25 du code pénal ; « 

3° L’interdiction, pendant une durée de cinq ans au plus, de conduire un véhicule qui ne soit pas équipé, par un professionnel agréé ou par construction, d’un dispositif homologué d’anti-démarrage par éthylotest électronique. Lorsque cette interdiction est prononcée en même temps que la peine d’annulation ou de suspension du permis de conduire, elle s’applique, pour la durée fixée par la juridiction, à l’issue de l’exécution de cette peine.

 » Art. L. 234-3.-Les officiers ou agents de police judiciaire soumettent à des vérifications destinées à établir l’état alcoolique qui peuvent être précédées des épreuves de dépistage de l’imprégnation alcoolique par l’air expiré l’auteur présumé de l’une des infractions prévues aux dispositions applicables localement susceptibles d’entraîner une suspension du permis de conduire, ou le conducteur impliqué dans un accident de la circulation ayant occasionné un dommage corporel.

Ils peuvent soumettre aux mêmes épreuves tout conducteur impliqué dans un quelconque accident de la circulation ou l’auteur présumé de l’une des infractions aux prescriptions applicables localement autres que celles mentionnées au premier alinéa. « 

 » Art. L. 234-4.-Lorsque les épreuves de dépistage permettent de présumer l’existence d’un état alcoolique ou lorsque le conducteur refuse de les subir ou en cas d’impossibilité de subir les épreuves résultant d’une incapacité physique attestée par le médecin requis, les officiers ou agents de police judiciaire font procéder aux vérifications destinées à établir la preuve de l’état alcoolique.

Ces vérifications sont faites soit au moyen d’analyses ou examens médicaux, cliniques ou biologiques, soit au moyen d’un appareil permettant de déterminer la concentration d’alcool par l’analyse de l’air expiré à la condition que cet appareil soit conforme à un type homologué.  » A cette fin, l’officier ou l’agent de police judiciaire peut requérir un médecin, un interne en médecine, un étudiant en médecine autorisé à exercer la médecine à titre de remplaçant ou un infirmier pour effectuer une prise de sang.

 » Art. L. 234-5.-Lorsque les vérifications sont faites au moyen d’analyses ou examens médicaux, cliniques ou biologiques, un échantillon est conservé.

Lorsqu’elles sont faites au moyen d’un appareil permettant de déterminer la concentration d’alcool par l’analyse de l’air expiré, un second contrôle peut être immédiatement effectué, après vérification du bon fonctionnement de l’appareil ; ce contrôle est de droit lorsqu’il est demandé par l’intéressé.

 » Art. L. 234-6.-L’auteur présumé de conduite en état d’ivresse manifeste peut être soumis directement aux vérifications destinées à établir l’état alcoolique. « 

 » Art. L. 234-7.-Un décret en Conseil d’Etat détermine les conditions dans lesquelles sont effectuées les opérations de dépistage et les vérifications prévues aux articles L. 234-3 à L. 234-6. « 

 » Art. L. 234-8.-I.-Le fait de refuser de se soumettre aux vérifications prévues par les articles L. 234-4 à L. 234-6 ou aux vérifications prévues par l’article L. 234-9 est puni de deux ans d’emprisonnement et de 4 500 euros d’amende.

II.-Toute personne coupable de ce délit encourt également les peines complémentaires suivantes :

1° La peine de travail d’intérêt général selon des modalités prévues à l’article 131-8 du code pénal et selon les conditions prévues aux articles 131-22 à 131-24 du même code et à l’article L. 122-1 du code de la justice pénale des mineurs ;

2° La peine de jours-amende dans les conditions fixées aux articles 131-5 et 131-25 du code pénal. « 

“ Art. L. 234-9.-Les officiers ou les agents de police judiciaire soit sur instruction du procureur de la République, soit à leur initiative peuvent, même en l’absence d’infraction préalable ou d’accident, soumettre toute personne qui conduit un véhicule à des vérifications destinées à établir l’état alcoolique, qui sont soit réalisées immédiatement et sur les lieux, soit précédées d’épreuves de dépistage de l’imprégnation alcoolique par l’air expiré. Sur l’ordre et sous la responsabilité des officiers de police judiciaire, les agents de police judiciaire adjoints peuvent, même en l’absence d’infraction préalable ou d’accident, soumettre toute personne qui conduit un véhicule ou qui accompagne un élève conducteur à des épreuves de dépistage de l’imprégnation alcoolique par l’air expiré.

Lorsque les épreuves de dépistage permettent de présumer l’existence d’un état alcoolique, les officiers ou agents de police judiciaire font procéder aux vérifications destinées à établir la preuve de l’état alcoolique au moyen de l’appareil permettant de déterminer la concentration d’alcool par l’analyse de l’air expiré, mentionné aux articles L. 234-4 à L. 234-6 et dans les conditions prévues par ces mêmes articles.

En cas d’impossibilité de subir ces épreuves résultant d’une incapacité physique attestée par le médecin requis, les officiers ou agents de police judiciaire font procéder aux vérifications destinées à établir la preuve de l’état alcoolique au moyen d’analyses ou examens médicaux, cliniques ou biologiques, dans les conditions prévues par les articles L. 234-4 à L. 234-6.  »

Le rôle de l’avocate MAITRE RAYBAUD à Arles durant les férias arlésiennes

Arles, ville emblématique de la Provence, est connue pour ses nombreuses festivités et événements culturels. Parmi eux, la célèbre Feria d’Arles, qui se déroule chaque année aux arènes, est l’un des moments forts de la vie locale. Pendant cette fête traditionnelle, la place de la République s’anime de concerts, de corridas et de spectacles de tauromachie.

Au cœur de Pâques, les lices résonnent des pas des toreros et des applaudissements enthousiastes du public. Les Penas, ces fanfares portatives, accompagnent les processions et animent les rues de la ville. Les arènes se remplissent de spectateurs avides de sensations fortes, prêts à vivre des moments inoubliables lors des courses de taureaux.

Dans la Camargue voisine, les manades déploient toute leur splendeur, avec leurs chevaux et leurs vaches. Les gardians, véritables héros de cette terre sauvage, perpétuent les traditions ancestrales au son des musiques de Manu Théron et de Manu Maugain.

Le port de Marseille n’est pas en reste. Les bodegas du quartier du Panier se remplissent de convives venus de toute la France pour déguster les spécialités locales, comme la bouillabaisse et le riz à la crau. Les croisières en mer offrent une vue imprenable sur la côte méditerranéenne, tandis que les concerts de la salle Roca résonnent des mélodies de nombreux artistes renommés.

Parmi les aficionados, la venue des grandes figures de la tauromachie est un événement à ne pas manquer. Sébastien Castella, réputé pour son courage et son talent, rivalise d’adresse avec les toros de la ganadería Martin. Les frères Adrien et Rémi, champions de la course camarguaise, font vibrer le public avec leurs prouesses athlétiques.

Au centre arlésien l’hôtel de ville se prépare pour accueillir la novillada annuelle, où de jeunes toreros talentueux tentent de se faire un nom dans le milieu taurin. Les passionnés de Victor Hugo trouveront également leur bonheur au salon du livre, où de nombreux auteurs de renom présentent leurs dernières œuvres.

La commune, véritable joyau de la Camargue, offre une animation constante tout au long de l’année. Entre fêtes, spectacles, et traditions, elle est le lieu idéal pour vivre des expériences uniques et découvrir la richesse culturelle de la région.

Les enjeux juridiques !

Maître Raybaud, avocate à Arles, joue un rôle crucial lors des férias arlésiennes. Avocat en droit pénal, elle se trouve au cœur de l’activité juridique entourant ce festival populaire.

Pendant les férias arlésiennes, qui sont de grandes fêtes traditionnelles célébrant la culture et la tradition camarguaise, de nombreux incidents peuvent se produire. Les rues animées, les corridas et les manifestations festives peuvent parfois entraîner des problèmes juridiques et des infractions pénales. C’est là que Maître Raybaud entre en jeu.

En tant qu’avocate expérimentée, Maître Raybaud représente les intérêts de ses clients, qu’ils soient accusés de délits mineurs ou plus graves. Elle fournit des conseils juridiques, défend ses clients devant les tribunaux et s’assure que leurs droits sont respectés tout au long du processus judiciaire.

Maître Raybaud peut être amenée à traiter un large éventail de cas. Il peut s’agir d’infractions liées à l’ivresse sur la voie publique, de violences, de vols, voire même de problèmes liés aux corridas, qui peuvent soulever des questions juridiques spécifiques.

En plus de représenter ses clients individuels, Maître Raybaud peut également être sollicitée par les organisateurs ou les autorités locales pour fournir des conseils juridiques ou assister à des réunions pour discuter des aspects légaux liés à l’événement.

Son rôle est de garantir que la justice est rendue de manière équitable et que les droits de chacun sont respectés, tout en comprenant les spécificités culturelles et les traditions entourant les férias arlésiennes.

Grâce à son expertise et à son engagement envers la justice, Maître Raybaud contribue à maintenir l’ordre et la sécurité pendant les férias arlésiennes, permettant ainsi à tous les participants de profiter de ces festivités traditionnelles dans un environnement légal et sécurisé.